Lorsque tous les élèves furent bien en sécurité dans la Grande Salle, je prenais le professeur Samtime à part :
- Je disais donc qu'il y avait un secret enfoui. Ce n'est pas tout à fait ça, mais c'est en effet enfoui dans l'histoire, et ce secret est plutôt une rumeur. Mais tout d'abord, je ne pense pas que tout cela soit l'œuvre d'Ombrage, elle a des pouvoirs magiques trop médiocres pour modifier des installations magiques des quatre fondateurs de Poudlard, des sorciers d'un talent énorme comparés aux siens.
Mais justement, les quatre fondateurs ont été la source de tas de rumeurs comme quoi il avait fait ceci, cela. Certaines de ces rumeurs ce sont révélées exactes, comme celle de la chambre des secrets. Les fondateurs auraient créé une sorte de protection du château, afin que personne ne puisse modifier ses bases, comme a voulu le faire Ombrage... Je crois même qu'un livre de la bibliothèque parle de ce sujet, mais il a sûrement été retiré par cet affreux crap...

Un groupe d'élève avait commencé à crier, et les deux professeurs allèrent à leur rencontre. Ce n'était vraiment pas le moment de se dessouder !

Je me réveille en sursaut. Il fait noir et je n'y vois rien.
- Lumos !

Ah oui, je me souviens ; sous les arcades. J'essaye une fois de plus d'ouvrir la porte, mais toujours sans succès.
A part cet horrible cauchemar, j'ai plutôt bien dormi pour quelqu'un qui a passé un telle journée.

Etant donné que je ne suis pas fatigué, je me dirige vers le seul endroit où je peux aller : le parc. Lorsque je m'approche du Saule cogneur, pas trop près tout de même, je remarque qu'une des branches est calcinée. Bizarre...
Des traces de pas : je les suis, peut-être que je retrouverai un ami.
J'entends au loin une voix et j'aperçois la lueur d'un feu. Je m'approche, courant presque tellement je suis content.
Mais alors que je passe derrière un buisson, je distingue avec horreur la voix d'ombrage et de Pierre Beaucamp.
Je m'éloigne et marche encore quelques minutes. Je vois un autre feu au loin, mais je me dis que ça ne vaut pas la peine de faire d'autres mauvaises rencontres.

Je me dirige alors vers la cabane de Hagrid. Elle est vide, la porte grande ouverte. J'entre prudemment, mais aucun danger à combattre. Je ferme la porte à clé, lance un Incendio dans la cheminée, et fais chauffer de l'eau.
Quelques minutes plus tard, tout en regardant la nuit noire du dehors et en buvant mon thé, je prend enfin le temps de regarder l'ensemble de la situation. Pourrait-elle être pire ?
En tout cas j'ai trouvé un abri sûr, mais loin de tous. Que deviennent Jules, Arthur, Roniveque, le professeur Samtime, le directeur et tous les autres ?

Il est impossible à Jules de trouver le sommeil, sa jambe droite lui fait bien trop mal. Il l'entend des bruits de pas se rapprocher de sa cachette. Intrigué, il éteignit rapidement son feu et rampa jusqu'à un buisson. Il vit alors passer La Grande Inquisitrice ainsi que Pierre Beaucamp qui retournaient vers le château.
Il observe la végétation qui l'entoure, une arbre semble avoir une branche assez solide pour lui servir de béquille. Après quelques minutes de bricolage, il scrutait les environ.
Au loin, il aperçut la Cabane d'Hagrid, elle était éclairée. Il se remit alors en route avec beaucoup de difficultés et de peines.
A quelques mètres à peine de la porte de la cabane, il est à bout de force, sa jambe lui fait terriblement mal. Il s'écroule à terre dans un cris de douleur et perdit connaissance

- Et jules reveille toi mon vieux !!
- hein quoi , repond jules . arthur roniveque ques ce que vous faite la?
- il nous chercher partout repondit dean !
- dean mais ou t'etait , demanda jules
- bah chey hagrid puis je vous est vu et je suis venu vous rejoindre !
- et vous pourquoi vous ettes la la salle n'etait pas fermer !
- si , repondit roniveque mais on a trouer un passage derrierre le siege de ted !
- on c'est dit que vous auriez besoin d'aides , dit je!
- a d'accord !
Enfin reuni nous nous depechons de de rejoindre le chateau en vitesse pour pouvoir soigner jules car l'etat de sa jambe na fait que empirer ; quand nous entendons un bruit sur notre droite !
- Madame , nous rentrons au chateau ! dit la vois de pierre
- Oui brigadier je tiens a resoudre cette affaire en personne !
Les voix s'eloignerent et nous ne comprenions plus rien a ce qu'elle disais !
- dolores et de retour ! dit je
- oui allons vite prevenir les autres !

( Euh... j'ai pas tout suivi là. Arthur et Roniveque sont toujours dans la Grande Salle non ? Vu que les professeurs ont fermé la porte à clé et surveillent les élèves... Edit: Euh...ouai, pas très crédible tout ça ^^. )

Après une bonne nuit de sommeil, le directeur et moi nous rendîmes à la bibliothèque en balai, en enfermant les élèves dans la Grande Salle. Après dix minutes à voler en tous sens, nous atterrîmes entre deux rayons. Les étagères aussi étaient devenus folles : elles se lançaient les livres entre elles, comme des ballons. Heureusement, Lupin eut une idée pour nous faciliter grandement la tâche.
"Accio La Légende de Poudlard !"
Un vieux livre lui atterrit dans les mains. Il le feuilleta, puis le jeta par terre.
"Il n'y a aucune indication dans ce livre pour trouver le lieu de contrôle de toute cette machinerie !
- Attends une minute...
- Quoi ?"
Je repris le livre, retrouvai la page qui parlait du secret, et lançai un Lumos derrière celle-ci. La page éclairée révéla un dessin stylisé d'une coupe en argent.
"C'est ça ! L'entrée se trouve dans la salle des trophées ! Elle s'actionne sûrement de la même manière que la cachette d'Ombrage !
-Vite, allons-y, je redoute un nouveau malheur !"

En effet, à peine avions-nous posé le pied sur les dalles du Hall d'Entrée, que la porte s'ouvrit, et Ombrage entra, en compagnie de son acolyte, le jeune Beaucamp. Nous levâmes nos baguettes.

Ils lèvent également leurs baguettes... et le combat s'engage.
- Stupéfix ! m'écriais-je en direction d'Ombrage, qui esquiva le maléfice.
- Duro ! s'écrie-t-elle, mais j'esquive également le sort, qui frappe la porte de la Grande salle et la change en pierre.
Le professeur Samtime lance lui aussi des sortilèges, en direction du jeune Beaucamp qui ne fait rien de terrifiant mais qui dérange.
- Petrificus Totalus ! et Pierre s'effondre sur le sol.

Folle de rage, Ombrage s'en prend au professeur Samtime :
- Endoloris ! et il s'effondre lui aussi, mais de douleur.
- Avada Kedavra ! fait-elle en pointant sa baguette sur moi.

Je me baisse juste à temps, et le sortilège touche la porte de la Grande Salle qui explose alors. Des morceaux de pierre volent en tous sens. Pour nous protéger, je lance un :
- Reducto conctus ! en direction des pierres, qui se transforment en grains de sable.

L'onde de choc du sortilège nous fait tous tomber à la renverse. Quand le professeur Samtime et moi nous relevons, Ombrage prend déjà la fuite par les escaliers :
- Glisseo ! lança Samtime.

Alors que l'escalier se transformait en toboggan et qu'Ombrage glissait contre son gré, les élèves qui dormaient encore s'étaient levés, et observaient le combat, la porte ayant été détruite.
J'entends alors un vacarme indéfinissable, je regarde les escaliers, et je vois que des dizaines d'armures ont aussi été prises dans le toboggan, et glissent vers nous.
Lorsque je repose les yeux sur Ombrage, elle pointe déjà sa baguette sur moi en criant "Incarcerem !".
J'ai juste encore le temps de voir les armures arriver en glissant.

Tous les élèves avaient levé leurs baguettes, et Ombrage était seule. La porte d'entrée s'ouvrit à nouveau, et les cinq absents en surgirent. A ce moment, les armures s'empilèrent sur le sol qui commençait à s'écraser sous le poids.

Arthur déploya des feux d'artifice Weasley, mais Ombrage réussit à en faire écraser un sur le sol déjà endommagé par la chute de pierres. Les dalles tombèrent, et nous nous retrouvâmes tous un peu sonnés, sur un sol en terre. Observant le passage qui se dévoilait devant nous, je regardai Ted, détaché, dans les yeux.

Ce passage était celui décrit dans La Légende de Poudlard.

La même question se posa alors dans nos têtes. Heureusement, Lupin l'élucida.

"Regarde ce couloir, il se dirige droit vers la salle des trophées, ceci ne doit pas être l'entrée.
- C'est sûrement ça !"

Ombrage était assommée, nous la ligotâmes et lui prîmes sa baguette.
Puis nous nous engageâmes en sa compagnie, et en la compagnie de la totalité des élèves, vers le second corridor.

P.S. : je ne serai pas là du week-end (à partir de demain soir), ne vous étonnez donc pas de mon absence ;)

apres que le passage se soit ouvert je foncas vers ted lupin !
- que se passe t'il arthur tu ma l'air affoler ?
- Ces jules monsieur ! repondit-je , on la retrouver pers de cher hagrid la jambe ensanglanter et on a pas reussis a le guerir !
- quoi? vous etait dans la foret ! bon nous reclerons sa plus tard ou est t'il?
Nous nous dirigames donc vers l'arrierre de la troupe ou jules soutenu par roniveque et dean tenter d'avancer tans bien que mal !
- oula qu'elle vilaine plaie je fait te l'arrancher en un rien de tant ! dit ted
Sur ces mot il diriga sa baguette vers la plaie et pronnonca des mots que je ne saisi pas :| j'ai jamais etait doué en latin !
La plaie se referma lentement et laissa apparaitre une peau neuve
- Meme si sa te semble guerri na force pas trop , dit ted lupin , sa pourrais s'agraver !
- d'acord monsieur , repondi jules , merci !
- pas de quoi !
Et il rejoigni peter a l'avant de la troupe !

Pierre se leva et marcha faire dolores pour lui defaire ces noeud!
- a merci pierre ! donne moi ta baguette
- oui madame

Et dolores fonca dans le passage avec la baguette de pierre beaucamp !

Je ne voudrais pas dire, mais Dolores est avec les profs à l'avant du convoi, donc on t'aurait vu et sûrement stupéfixé !

Alors que les habitants de Poudlard, ou plutôt les prisonniers du château, marchaient dans ce passage, un vent qui n'aurait pas dû pouvoir passer par là se fit sentir.
Encore une fois, les murs tremblèrent violemment, et plusieurs élèves furent projetés à terre. Les murs tremblèrent du plus en plus violemment, jusqu'à ce que une partie du souterrain ne s'effondre, scindant le groupe en deux. Les professeurs et le directeur, séparés dans les deux groupes, entreprirent de creuser un passage dans le plafond pour échapper aux effondrements.

Lorsque tout le monde parvint à s'extirper du passage souterrain pour arriver dans un couloir, le tunnel commença à s'effondrer, provoquant l'enfoncement du sol du couloir.

Tout le monde prit la fuite, et dans des directions différentes, de sorte que plus personne n'était en groupe. Des morceaux de plafond se détachèrent à leur tour, éloignant les élèves toujours plus loin les uns des autres.
Soudain, les tremblements cessèrent, et ce fut le silence... puis on entendit des pas se rapprocher, des pas sourds, des pas de ferraille. Les armures entreprenaient de trouver les élèves afin de les faire s'enfuir, ou de les emmener dans quelque lieu sinistre.

Le combat s'engagea, les armures ne résistant pas beaucoup aux sortilèges, mais étant supérieures en nombre. Des élèves furent emportés, d'autres blessés, les plus chanceux parvinrent à s'enfuir.

Le souvenir de tous les élèves rassemblés dans la Grande Salle dans des sacs de couchages semblait alors merveilleux... et lointain. Une seule chose était à présent certaine : pour longtemps les élèves ne seraient pas rassemblés tous ensemble, et c'était à présent la lutte pour la survie.

Autrement dit, on ne pouvait à présent plus compter que sur soi-même, et peut-être sur des amis proches... si seulement ils n'étaient pas si loin, éparpillés dans tout le château.


D'autres parties Rpg sont à présent ouvertes, afin que chacun puisse trouver un Havre de paix, si provisoire qu'il soit. ("Grande Salle", "Bibliothèque", et "Autres lieux Rpg" dans "Poudlard")